La poursuite des mesures de texture ne montre pas d’évolution notable de la structure de la pellicule sauf pour les cabernet sauvignon qui continuent à voir leur pellicule s’affiner.
En revanche les mécanismes de déstructuration pariétale ne sont pas pleinement engagés et les pellicules restent encore globalement peu poreuses. Le fait remarquable cette année est une évolution extrêmement lente de la texture pelliculaire, les mécanismes sont enclenchés mais évoluent insuffisamment pour favoriser un développement massif et rapide de la pourriture.