Les troisièmes mesures de texture ont été réalisées et montrent un début d’évolution marqué de la pellicule.
Les deux critères mesurés évoluent, mais les modifications sont plus marquées chez les Cabernets que les Merlots pour lesquels l’évolution structurale a été plus importante que l’évolution d’épaisseur. Les pellicules commencent également à se détacher de la pulpe sans pour autant être suffisamment évoluées pour présenter un risque fort de pourriture sur les baies intactes.
A ce jour et dans les conditions climatiques actuelles, l’état pelliculaire n’est pas encore suffisamment avancé pour induire un développement massif et rapide de la pourriture, mais les mécanismes de dégradation sont maintenant enclenchés. Il est donc important de suivre attentivement ces marqueurs notamment si des baies ont été touchés par d’autres facteurs comme la grêle ou le mildiou.